lundi 21 mai 2012

Non, mais t’as vu l’heure!

 

Je ne sais pas à quoi c’est du mais Crapule n°1, âgé de 2 ans et demi, a décidé depuis quelque temps de débarquer dans notre chambre à 6h30 le matin! L’horreur! On avait beau lui dire de retourner dans sa chambre, c’était trop tard. J’ai cherché et j’ai trouvé la solution: Le kidsleep.

kidsleep

Le principe: Vous réglez le timer à l’heure qui vous convient (bon, pas 9h00, hein, faut pas rêver non plus!). Chez nous, il est réglé à 7h20. La nuit, le lapin qui dort est allumé et à partir de 7h20, c’est le lapin éveillé qui s’allume. L’enfant sait alors qu’il peut venir squatter le lit. Il y a aussi une possibilité de régler une sonnerie, pour le moment c’est inutile.

ça fonctionne? Nous le testons depuis peu de temps, pour la sieste et la nuit et miracle, ça fonctionne. Crapule n°1 débarque à 7h20 pétante pour nous dire que le lapin est réveillé: il doit passer du temps à le guetter mais il attend sagement le feu vert du lapin pour débarquer. Je ne sais pas s’il va adhérer au concept encore longtemps mais ça nous aura permis d’avoir un peu de sommeil en rab’.

Petite précision: J’ai fait l’erreur d’en commander un “de voyage”, plus fin et qui fonctionne à piles. Sur la notice, il est précisé que les 4 piles durent environ 40 jours. Pas très économique et écologique. Il existe un format normal avec une possibilité de le brancher sur le secteur.

Prix: le format voyage m’a couté 30€. (Ceci n’est pas un article sponsorisé).

Qu’en pensez-vous? Quelles solutions avez-vous trouvé pour grappiller un peu de sommeil?

dimanche 20 mai 2012

Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia




Edition: Livre de poche
Voilà, fini! Je viens de terminer ce roman que j’ai commencé il y a un moment. On me l’avait fortement conseillé après ma lecture de Bienvenue au Club de Jonathan Coe. Honnêtement, j’ai eu du mal à entrer dans l’histoire, j’ai même hésité à arrêter ma lecture. J’ai donc décidé de faire une pause, de lire la série des Wilt avant de redonner sa chance à ce roman qui avait reçu de nombreuses critiques élogieuses et qui avait obtenu le prix des Libraires.
J’ai donc repris ce roman il y a 15 jours et je ne l’ai plus lâché.
L’histoire: En pleine guerre d’Algérie, Michel Marini, 12 ans, au début du roman, joueur de baby-foot et élève d’Henri IV est un fervent lecteur. Il rencontre au Balto un groupe d’hommes ayant fui les régimes d’Europe de l’Est. Sacha, Imré, Pavel, Igor et les autres se retrouvent pour disputer de longues parties d’échec. Ils croiseront aussi Kessel et Sartre. Ils prendront Michel sous leur aile et lui apprendront à rester toujours optimistes malgré les drames traversés.
Mon avis: Il m’a fallu un peu de temps avant de me plonger dans le destin de Michel mais une fois les personnages mis en place, je me suis attachée aux destins de ces personnages. Différents sujets sont abordés: le communisme, bien sûr, la guerre d’Algérie, la France d’après de Gaulle, l’amour, la famille etc… On admire ces hommes qui maintiennent le cap malgré les différents drames traversés dans leur vie. Un joli livre à lire.

mercredi 16 mai 2012

Lettre au nouveau ministre de l’Education: à quand la remise en cause du “collège unique”?

 

Monsieur Peillon,

Je commencerais par vous souhaiter beaucoup de courage devant le vaste chantier qui vous est offert, ministre de l’Education est un poste maudit, on le sait. Difficile de réformer l’Education alors qu’il faut des changements. On nous promet du renouveau, de la réussite pour tous et j’ai envie d’y croire. Je suis professeur de français, de ceux qui aiment leur métier et qui pensent compter. Je crois en l’Ecole comme vecteur d’égalité des chances. J’ai envie d’aider mes élèves à devenir des citoyens, des êtres indépendants qui comprennent la société dans laquelle ils vivent, qui s’interrogent sur le monde qui les entoure. Mon rôle n’est pas d’enseigner à une élite, je suis là pour éveiller des esprits, aider des adolescents à trouver leur place. Le public que j’ai face à moi n’est pas toujours facile sans être réellement hostile. Longtemps TZR (remplaçante), j’ai enseigné dans différents établissements avec de joli sigle: APV, PEP 4, ZEP etc… Je reviendrais une autre fois sur le sort réservé aux jeunes professeurs débutants…

Aujourd'hui, est nommé avec vous un ministre délégué à la réussite éducative… Est-ce à penser que l’éducation nationale n’est pas censé s’occuper de la réussite de tous… Toutes les instances de l’éducation doivent œuvrer pour la réussite des élèves: la gestion du personnel, des locaux, du budget, tout doit être centré autour de la réussite des enfants. Nous faisons un métier de service public. D’autre part, soigner ses enseignants, c’est aussi aider les élèves à réussir.
On peut aussi s’interroger sur la notion de réussite. Ces dernières années, nous avons vu fermer de nombreuses filières d’orientation, préférant garder l’élève dans le collège unique. Aucun parti politique ne remet en cause cette organisation alors que sur le terrain, nous savons que certains élèves n’ont pas les capacités, d’autres n’entrent pas dans le système scolaire ou le rejettent et mériteraient d’être orientés dès la quatrième ou la troisième. On n’est pas tous fait pour le système scolaire. Il faut davantage de passerelles. Que faire d’un adolescent en échec scolaire, qui veut être plombier, qui se révèle être doué dans son domaine mais qui doit attendre la fin de sa troisième pour obtenir une formation. Le collège unique nie les difficultés et les différences entre les élèves. La fermeture des troisième d’insertion et des quatrième aide et soutien nous oblige à garder dans les murs des enfants qui rêvent d’en sortir. Ils deviennent souvent absentéistes en troisième et se retrouvent sans aucun projet à la fin du collège. Réussir ne signifie pas toujours avoir d’excellents résultats scolaires. Les SEGPA (section d’enseignements général et professionnel adapté) qui s’adressent aux élèves présentant des difficultés cognitives, sont de moins en moins nombreuses. Comment permettre à 10 profils différents réunis dans une même classe de réussir?

Enfin Monsieur le ministre, je vous invite à vous confronter aux réalités du métier. Venez nous voir, rencontrez nous, remettez peut être en cause vos grands principes pour être plus proche de la réalité. Nous sommes nombreux à être confronté à l’échec scolaire mais nous sommes impuissants car nous n’avons aucun champ d’action. Faites nous confiance et aidez-nous à œuvrer pour la réussite de tous.

J’inspire, j’expire, j’inspire, j’expire

 

Je sais que c’est une chance d’avoir un petit garçon en bonne santé, vif et souriant. Je comprends la souffrance de ceux qui se battent contre la stérilité et je sais ce que traverse ceux qui ont des enfants malades.

Mon fils dévore la vie, déborde d’énergie et m’épuise. Aujourd’hui, c’est mercredi. Crapule 1er ne retournera à la crèche que lundi prochain parce qu’il y a le pont. Passer une journée avec crapule 1er c’est sportif. Fini la glandouille sur le canap en regardant un film sur Canal plus, oublions aussi la lecture: dépasser le premier paragraphe relève du chalenge. Enfin pour éviter de passer sa journée à hurler, anticipons, programmons et jouons.

Une journée avec Crapule 1er commence à 6h40 (et oui!). On pense tout de suite à la chanson de Bénabar: “Dors, dors, bordel, pourquoi tu dors pas!”. On négocie, on l’invite à squatter notre lit alors qu’on s’était juré de ne jamais le faire et on succombe. Crapule 1er est intelligent, il bisoute, câline et sourit alors mon cœur de maman bondit et je respire de bonheur. Petite sœur in utero bouge. La famille c’est cool.
7h15: je vais chercher un biberon et je me recouche, en espérant décaler le plus possible l’heure du lever parce qu’après il faut gérer. J’annonce alors à mon merveilleux mari que je compte investir dans un réveil d’apprentissage.
7h30: je suis debout et j’attaque. Bêtise 1, bêtise 2 s’enchainent suivies de 4 attaques de dinosaures, de 6: “Maman, il est où Flash Mc queen?”, de quelques “Maman tu fais quoi?”, les 3 derniers coups d’épée auront raison de ma santé mentale. Je hurle. Il est 9h30.
Là, faut réfléchir et mettre en place le plan d’attaque: carrefour, préparation de cookies, promenade à vélo et coiffeur sont autant d’activités à répartir dans la journée. Crapule 1er mangera 3 cailloux, 2 pommes de terres qui trainaient sur le sol de la cuisine et de la pate à cookies crue mais tout va bien.  Il est 19H, le papa va bientôt prendre le relais. Aujourd’hui, je m’en sors bien, il a fait une sieste.

Au final, je me demande si la maternité n’engendre pas une forme de masochisme. Je ne laisserai ma place pour rien au monde et je suis même prête à remettre ça. Mais qu’est-ce qui nous pousse à cela? Y a t-il vraiment des femmes et des hommes qui s’épanouissent à 100% dans leur rôle de parents? Est-ce normal de ne pas toujours avoir envie de passer du temps avec son enfant? Il m’est arrivé d’avoir envie de l’enfermer dans un placard et d’aller hurler, de n’en plus pouvoir, de pleurer tellement je craquais. Pas souvent heureusement. Mais tout de même, un enfant de 2 ans et demi est déjà capable de nous pousser dans nos derniers retranchements. Si on y réfléchit, on s’inflige une certaine forme de torture: manque de sommeil, musique insupportable, cris, inquiétude permanente etc… Heureusement, on déborde d’amour et de tendresse pour notre bourreau. On est fière de cet enfant qui grandit, pense, parle et nous fait rire.
En discutant avec d’autres couples, on se rend compte qu’on est tous pareil et qu’on n’avait pas nécessairement anticipé les bouleversements qu’un enfant engendrerait dans un couple. Alors du coup, je flippe: nous avons bien tenu le choc après l’arrivée de Crapule 1er: en 3 mois, notre couple avait trouvé son nouveau rythme et on ne s’engueulait plus à longueur de journée. Mais avec le 2eme….

Et puis, on arrive au terme de la journée et au final, j’ai été couverte de bisous, de câlins. J’ai été admirative devant son indépendance, j’ai été complice de ses fous rire. Alors, mon côté fleur bleu reprend le dessus (mon fils m’a rendue faible) j’oublie un peu les cris, les colères et je ne retiens que ces élans d’amour. Je comprends pourquoi on se bat pour vivre ça. La maternité m’a transformé, je suis devenue une louve. Elle a décuplé mes forces et mes faiblesses. Alors, oui, je crois que je suis un peu masochiste.

mardi 15 mai 2012

Trainer sur la blogosphère: un gouffre financier…. (avec une modeste revue produit)

J’ai toujours aimé faire un peu de shoping de temps en temps mais sans être une acharnée de la dépense. Je ne partais pas nécessairement à la recherche de la nouveauté, du produit pointu qui allait changer ma vie. Par exemple, mes connaissances en matière de produit de beauté s’arrêtait à ce que j’apercevais en tête de gondole au Monoprix de mon quartier.

Arrêtée à 5 mois et demi de grossesse pour mon ainé, j’ai commencé à surfer et à lire des blogs. Au départ, je cherchais des récits satiriques sur la maternité et puis j’ai fouillé ça et là. Ma vie de petite consumériste a alors changé. J’ai découvert plein de nouveaux produits! Sans compter que quand c’est une blogeuse qui donne son envie, on est tenté de croire qu’il est sincère. (Je suis moins naïve aujourd’hui et je sais que beaucoup d’entre elles publient des billets sponsorisés.) Néanmoins, surfer sur les blogs est une incitation permanente à la dépense. Si on ajoute à cela, la facilité avec laquelle on peut faire des achats sur le net. Tout n’est que tentation! Aussi, je rêve de produits de beauté et de maquillage dont je n’avais même pas entendu parler avant, je fais des listes de ce que je voudrais m’acheter le mois prochain et je peux passer des heures à comparer des articles sur les fonds de teint. Je comprends que les marques utilisent le phénomène. On peut évidemment s’interroger sur l’indépendance des blogeuses et je sais que la polémique surgit régulièrement. Néanmoins, je suis tentée de croire les blogeuses que je lis, les articles sponsorisés sont signalés et je ne crois pas qu’il y ait de publicité masquée. En tous cas, moins que dans n’importe quel magazine féminin.

Toujours est-il que depuis que je traine sur la blogosphère, je dépense. Certains produits sont devenus des classiques de ma salle de bain. Le premier que je présente est le fameux Pschitt magique de Garancia.

Ma peau: Je cumule pas mal de défaut: j’ai des cicatrices d’acné, quelques boutons de temps en temps, une peau déshydratée et sensible (youhou!). Pas la peau rêvée.

pschitt

Ce qu’en dit la marque: 

Innovation : Des chercheurs spécialisés en génie tissulaire et en stabilisation d'enzymes ont mis au point le Micropeeloff X3, un actif exclusif qui associe 6 extraits botaniques à forte concentration avec une enzyme cristalline à action biologique.
Testée cliniquement, elle va faire fondre les cellules mortes* et donner à votre peau la capacité de se régénérer de l'intérieur jour après jour.
De cette alchimie, alliant tradition et nouvelle technologie, est née une mousse ultra fine qui d'un doux nuage gourmand, sans grain ni friction, va agir en quelques secondes.
Résultat : jour après jour, votre grain de peau paraît plus fin, plus jeune et parfaitement nettoyé.
*Les cellules mortes asphixient notre peau, ternissent son éclat, épaississent notre grain de peau et limitent la pénétration de nos crèmes anti-âge.
Actifs principaux :
Eaux florales de rose, bleuet et hamamélis, Extrait de thé vert, Pulpe de concombre, Extrait originel de jus de citron frais.
Conseil d'utilisation :
S'utilise chaque jour le matin à la place de son produit nettoyant ou le soir après son démaquillage.
S'applique sur peau sèche : 2 pressions dans le creux de la main préalablement humidifiée, à répartir sur le visage par effleurage. Laisser agir 30 secondes : la mousse fond progressivement, puis bien rincez à l'eau.

Ce que j’en dis: Je l’utilise tous les matins et je l’aime beaucoup. Je ne suis pas toujours capable de voir l’effet des produits de beauté sur ma peau (sauf quand je fais une allergie…) mais là, je dois reconnaitre que mon teint est moins terne quand je l’utilise. C’est un des rares produits que j’ai racheté après avoir fini le flacon. Ma peau est sensible et elle le supporte très bien.

Pour info: Un flacon dure environ 3 mois. Son prix est très variable. J’ai vu des écarts de prix de près de 10 euros. Dernièrement, j’ai acheté mon flacon sur le site easypharma. J’ai été livrée en 5 jours. C’est intéressant si on a d’autres produits a acheté afin d’éviter les frais de port.

Derniers livres lus

Soyons honnêtes, je lis beaucoup moins qu'il y a quelques année. Quand je vois certaines blogueuses lire plus de 4 livres par mois, je me demande quand elle trouve le temps. Aujourd'hui, il faut que l'histoire me captive, et vite, sinon je m'endors ou je me lasse et passe à autre chose. Ces derniers mois, je n’ai pas été très originale dans mes lectures.

  • La couleur des sentiments de Kathryn Stockett: 518tBmKLJWL._AA115_

Pas vraiment besoin de présenter ce best-seller. L’histoire se déroule aux Etats-Unis, en 1962 et croise les regards de Minny et Aibileen, employées de maison noires avec celui de Skeeter, jeune femme blanche qui décide d’enquêter sur les liens qui unissent ces femmes aux familles blanches qui les emploient.
On est très vite absorbé par le quotidien de ces femmes de caractère. Il n’y a pas de manichéisme, le sujet est intelligemment traité. On s’attache aux personnages. Je sais qu’il y a eu une adaptation que je n’ai pas vue pour le moment. Je pars avec un à-priori assez négatif, je ne vois pas comment le scénariste a pu respecter le mode de narration du roman.

     
  • Rien ne s'oppose à la nuit de Delphine le Vigan

Dans cette autobiographie, Delphine le Vigan se concentre sur sa mère, Lucile, qui vient de mourir et tente de comprendre d’où venait la douleur de cette femme qui l’a élevée. 41IZnGU1vEL._SL500_AA300_

L’intérêt de ce roman réside dans le mode d’écriture, comme si le récit était écrit au fur et à mesure de son enquête, elle s’interroge donc régulièrement sur le processus d’écriture et nous fait partager ses doutes.

 

  • L’ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon41mW8DfziML._SL500_AA300_

A Barcelone, après la guerre civile, un père conduit son jeune garçon au cimetière des livres oubliés et lui demande d’adopter un livre. Daniel, le narrateur, choisit “l’Ombre du vent” sans se douter que sa vie va désormais changer et qu’il va être embarqué dans une série d’aventures et de mystères.

Le résumé ne pouvait que me séduire: un cimetière des livres oubliés! Comment ne pas avoir envie d’en savoir plus. L’enquête de Daniel nous fait visiter un Barcelone sombre et envoutant, on tremble pour ce jeune homme qui veut à tout prix connaitre l’auteur du roman qui a changé sa vie. Un beau roman captivant.

  • Wilt de Tom Sharpe

Le cinquième tome de cette série de Tom Sharpe vient de sortir. Je n’ai lu pour le moment que les deux premiers, le troisième m’attend sagement. Wilt, professeur désabusé dans un institut technique, 51Fhj3g9KjL._SL500_AA300_ semble destiné à se retrouver dans des situations rocambolesques: accusé du meurtre d’une poupée gonflable ou aux prises avec de dangereux terroristes.. Malmené par son opulente femme Eva, il agace par son flegme le pauvre commissaire.

Cette série a été encensée par la critique, et par mon libraire, qui voit en Tom Sharpe un maitre de l’humour et de l’absurde. J’étais persuadée que j’allais adorer, je suis bon public en général avec ce type de littérature. Mais là, je me suis vite lassée. L’humour manque de finesse. Je crois que les aventures de Wilt sont trop absurdes à mon gout. Je lirai néanmoins le troisième tome par curiosité.

Le prénom

Quand on est parent, les occasions d'aller au cinéma se font rare. Outre le prix des places, il faut prévoir le budget babysitting et resto (quitte à investir dans le babysitting, autant profiter à fond de sa soirée). Autant dire que le choix du film est essentiel et nous sommes plus enclin à aller voir des "valeurs sûres": au programme ce mois-ci ce sera donc Moonrise kingdom de Wes Anderson et De rouille et d'os de Jacques Audiard.  Nous avons, en effet, la chance d'avoir des parents toujours ravis de garder leur petit fils.
Il y a quelque temps, nous sommes donc allés voir le Prénom, conseillé par plusieurs amis. Film français, avec Patrick Bruel, Valérie Benguigui, Charles Berling etc.... C'est une adaptation d'une pièce de théâtre. On assiste à l'annonce du prénom choisi par le personnage de Patrick Bruel pour son futur enfant lors d'un diner avec des amis.
L'objectif du film est atteint, c'est drôle, on passe un bon moment. Les acteurs de la pièce ont repris leur rôle au cinéma avec brio. Ce n'est pas un film qui restera dans les mémoires mais peu importe.


lundi 14 mai 2012

Bienvenue dans mon univers

Pourquoi créer un blog? Depuis mon premier congé maternité (en 2009), j'ai commencé à errer sur la blogosphère, à pénétrer les univers des unes et des autres tout en restant dans l'anonymat. Et puis grossesse n°2 est arrivée et Hellocoton est devenue le site que je consultais plusieurs fois par jour. Je ne sais pas si ce blog intéressera, sera lu mais je prévois de parler de tout: de cuisine, de livres, de boulot, d'actu, de beauté etc... Bref, de tout ce qui constitue mon univers.